Mme Charleux précise : « Pour CAIRAP, il s’agit de diviser le temps de prélèvement par 3 en impactant 3 boites en simultané. Nous avions des collecteurs d’air simple tête auparavant. Le gain de temps est appréciable pour le préleveur, mais aussi pour notre client qui voit ses blocs opératoires inactifs moins longtemps. La planification est plus aisée».
Pour un prélèvement de 3×10 minutes, ici avec 3 têtes, on ne passe plus que 10 minutes !
« Aujourd’hui, nous utilisons cet appareil pour les contrôles en milieu hospitalier. A raison de 40 tests par an, sur des géloses caséine soja et sabouraud chloramphénicol, pour la validation de classes ISO 5, 7 et 8. Il s’agit de rechercher les microorganismes aérobies 30°C et les moisissures suivant le guide de la DGS Surveillance microbiologique de l’environnement dans les établissements de santé Air, eaux et surfaces. Ministère chargé de la santé, DGS/DHOS, CTIN, 2002 ».
En tant que prestataire, le matériel est amené à voyager à travers toute la Polynésie Française, et à changer de mains régulièrement. Il est important de disposer d’un appareil résistant et protégé pendant le transport.
« Le TRIO.BAS. renvoie l’image d’un matériel robuste. Le démarrage et la prise en main se sont fait sans difficulté ».
Si le CAIRAP s’est tourné vers ABE pour cette collaboration, ce n’est pas que pour l’offre commerciale « compétitive et adaptées à nos différents besoins » mais aussi pour son support : accompagner nos partenaires, du choix de l’équipement à la formation, en passant par la maintenance, est primordial.
Si vous avez des remarques ou des questions, n’hésitez pas à me contacter : nasthasia.c@abioexpertise.com
Mais qui sont donc ces personnages ? Un peu de culture geek, avec ASDF Movie.